Début 2019, l’actrice française Cléa Gaultier était de passage au Québec pour la promotion de la Chaine Dorcel TV au Canada. L’occasion pour la belle Cléa Gaultier de rencontrer le magazine québécois pour homme « Summum » pour une interview qui vous en fera découvrir plus sur notre Dorcel Girl nationale…
In 2019, French pornstar Clea Gaultier in visit in Canada to promote the local channel Dorcel TV gave an interview to the Quebec adult magazine Summum ….
Bonjour Cléa! C’est un plaisir de faire ta connaissance. Dis-moi, comment vas-tu?
Bonjour, le plaisir est partagé et je vais très bien merci!
Vous étiez au Québec cette semaine, Gregory Dorcel et toi, en pleine tournée de promotion de la chaîne DORCEL TV (texte à venir). Comment trouves-tu l’hiver québécois? Ça saisit, n’est-ce pas?
Je suis très heureuse d’être ici au Québec, mais, effectivement, il fait vraiment très froid. Je n’ai pas l’habitude comme j’arrive d’Espagne!
C’est ta première fois ici, au Québec ou au Canada, je veux dire?
Oui, tout à fait. C’est la première fois que je viens au Québec et je suis enchantée! Cela faisait longtemps que je voulais visiter.
Cléa, tu fais partie depuis quelques mois des DORCEL GIRLS, donc on peut dire d’une certaine façon que tu es exclusive à cette entreprise-là. On dit que tu as contacté toi-même DORCEL pour te proposer comme ambassadrice. Comment as-tu réagi quand on t’a répondu? (Rires)
À ma grande surprise, ils ont été très emballés et mon aventure a commencé ainsi. J’étais excitée, heureuse et un peu stressée. (Rires) Maintenant que je suis DORCEL GIRL je suis très fière et je me donne à 100 % pour représenter au mieux DORCEL qui, pour moi, est la meilleure production de films X.
Tu t’es lancée dans l’industrie de la pornographie à quel moment exactement? Qu’est-ce qui t’intéressait dans ce monde-là?
Je me suis lancée dans le porno à l’âge de 25 ans. Pour certains, ça peut paraître tard, mais pour moi, c’est un âge plutôt logique. Avant, je n’étais pas assez mature. Ce qui m’a plu, ce sont les jolies filles, les belles photos, l’image sexy de la femme qui est mise en avant, et le sexe bien évidemment.
Et aujourd’hui, qu’est-ce qui te fait triper dans la porno?
Ce qui me fait triper, ce sont les rencontres, les voyages et les orgasmes!
As-tu toujours pensé que tu allais être une star du porno?
Non, je n’aurais jamais pensé faire du porno auparavant. Ça me fait penser à un de mes films préférés, The Girl Next Door, avec Emile Hirsch et Elisha Cuthbert; quand j’étais ado, je le regardais souvent. C’est l’histoire d’un jeune homme qui va bientôt passer son bac et qui a une voisine très sexy, qui est en fait actrice porno. Ils tombent amoureux et vivent plein de péripéties, c’est très fun comme film. Mais sinon, je me voyais plutôt danseuse classique ou journaliste.
Justement, tu es issue du domaine de la danse et du patinage artistique. En quoi crois-tu que tes aptitudes en danse te distinguent des autres actrices?
C’est vrai que, depuis mon plus jeune âge, j’ai baigné dans le sport et l’art, car pour moi la danse classique et le patin à glace sont un art. Il faut à la fois de la grâce, mais aussi de la force et de la discipline. Ce qui me distingue… Eh bien, je sais danser plusieurs styles, je suis souple et la danse m’a apporté beaucoup. Je pense avoir une belle silhouette et de l’allure, mais ça forge aussi le caractère. Ça m’a appris à avoir de la rigueur et je suis toujours très dure avec moi-même, je veux toujours faire mieux, me dépasser.
Crois-tu que l’univers de la porno en France ressemble ou est similaire à celui du Canada et des États-Unis? Crois-tu que les relations entre les acteurs sont les mêmes? Que le traitement (traitement graphique) des images ou des productions diffère des autres pays?
Je pense que cela dépend plutôt du style des productions que du pays d’où sont produits les films. Les rapports entre les acteurs sont plus ou moins les mêmes je pense. Je ne pense pas que le traitement graphique des images change énormément, tout dépend du matériel utilisé et du savoir-faire de l’équipe technique, selon moi.
Sinon Cléa, dis-moi, quel genre de fille es-tu dans la vie de tous les jours?
Dans la vie de tous les jours, je suis une fille vraiment très simple. J’aime passer des moments avec ma famille et mes amis, faire du sport, me balader le long de la plage, câliner mes lapins et mon chat, et manger des pâtisseries… (Rires)
Qu’est-ce qui te passionne, te fait vibrer?
Ce qui me passionne, ce sont les voyages, découvrir de nouvelles cultures et apprendre des choses.
Qu’est-ce qu’on serait surpris d’apprendre sur toi, maintenant que tu t’es mise à nue?
Quelque chose qui pourrait surprendre les gens… Eh bien, avant j’étais gothique et j’avais plusieurs piercings, avec de très longs cheveux noirs…
Peux-tu nous faire une révélation sexy à ton sujet?
Révélation sexy : j’aime me masturber tous les soirs avec mon Satisfyer!
1 thoughts on “Clea Gaultier (France), Interview de l’ambassadrice Dorcel – Summum – 2019”