
Nous vous proposons un reportage du Journal de Montréal sur les coulisses du porno à Prague (République tchèque) !
We offer you a report from the Journal de Montréal on the behind-the-scenes of porn! Angie Bloom, who posts on Pornhub, says she experienced a veritable porn factory in Prague (Czech Republic).
Il est possible de faire de l’argent grâce à Pornhub, mais les vedettes sur la plateforme doivent multiplier leurs activités et varier la provenance de leurs revenus. Tout comme celle de la musique, l’industrie de la pornographie a subi d’importants changements avec l’arrivée d’internet à l’aube des années 2000. D’un côté se trouvent les propriétaires du site web qui sont multimillionnaires, et de l’autre, ceux qui produisent le contenu et qui ramassent les miettes. Pour survivre dans le nouveau modèle d’affaires de l’industrie de la porno, les vedettes doivent faire preuve de créativité pour gagner leur vie. Et notamment travailler à l’étranger.
Angie Bloom est une Canadienne de Montréal qui a fait le choix pleinement conscient, à l’âge adulte, de travailler dans l’industrie du X.
La Québécoise qui s’affiche notamment sur Pornhub mais qui collabore également avec des productions nords-americaines ou européennes, dit avoir connu à Prague une véritable usine à films pornos.
Elle lève le voile sur un côté très sombre de l’industrie du divertissement pour adultes.
Elle reste tout de meme très heureuse de sa décision, ne cachant pas que sa popularité internationale lui permet de gagner plus aujourd’hui que quand elle travaillait pour une respectable firme d’actuariat de Montréal.
«Je vis ma sexualité dans le plus high et j’arrive à gagner ma vie avec ça», se réjouit-elle.
Il n’en demeure pas moins qu’elle est aussi consciente que ce n’est pas tout le monde qui est dans sa situation dans l’industrie.
À Prague, dans un studio où elle a tourné récemment, c’est un vieux routier de ce domaine, âgé de la soixantaine, qui pilote les opérations.
Au premier étage de l’immeuble se trouvent cinq ordinateurs. Au deuxième étage, des dortoirs où sont logées des femmes de partout en Europe de l’Est, mais aussi d’Amérique du Sud et des États-Unis. Les plus fortunées se paient des Airbnb non loin de là.
Au troisième étage habite une maquilleuse, avec son enfant. Cette scène improbable à Montréal est pourtant perçue comme très normale à cet endroit.
Pas moins de quatre tournages ont lieu chaque jour dans cet immeuble, de 8 h à 16 h. Il n’y a pas vraiment de scénario préétabli.
«Plus les filles sont jeunes, plus ça marche», explique Angie Bloom qui n’est pas sûre que tout le monde sur le plateau a toujours plus de 18 ans.
Elle dit aussi que la drogue est courante à Prague et qu’il lui est arrivé de voir des femmes tourner alors qu’elles étaient manifestement sous influence, après, par exemple, avoir passé une nuit à faire la fête.
Selon Angie Bloom, bien que Pornhub lui serve encore d’outil de marketing pour amener ses adeptes vers des vidéos payantes, le site est aujourd’hui «très vanille» (ndlr « soft ») comparativement à ce qu’on peut trouver sur d’autres sites pornos plus extrêmes.
Jean-François Cloutier , Nora T. Lamontagne et Nicolas Brasseur – Le Journal De Montréal – 03/2025
Ses scènes pour LegalPorno sont très intenses et elle en redemande, rajoutant parfois dans sa facon de tourner un coté soumise ayant très faim de foutre ou pisse. Dans sa scène I Love Anal – GG’s Raw XF416 , elle rappelle meme l’acteur lui ayant décharger un jus épais en bouche pour nettoyer sa queue…. belle actrice.